PURPLE : Du métal à la drum & bass, l’alchimie d’une DJ pas comme les autres

par | Déc 5, 2024 | Artistes | 0 commentaires

Découverte dans les free parties il y a plus de 15 ans, Purple s’est forgée une place unique dans le paysage de la drum & bass française. De son passé métalleux à son attrait mystique pour le violet, en passant par ses livestreams qui rassemblent des milliers de spectateurs, elle nous raconte son parcours atypique. Entre énergie brute et vibrations spirituelles, rencontre avec une artiste qui cultive sa singularité autant dans ses choix musicaux que dans son identité.

 

Tracklist

Comment as-tu commencé la musique et qu’est-ce qui t’a amenée vers la Drum & Bass ? Notamment avec la découverte de « Tarantula » de Pendulum qui semble avoir été un moment clé…

Tout a commencé à l’adolescence. Mon truc, c’était plutôt le métal à l’époque. Je me rendais quelques fois à la médiathèque de ma ville, puis un jour, en fouillant dans le coin CD, je suis tombée par hasard sur un album de Marilyn Manson et Korn. J’ai vu les pochettes et je me suis dit : « Wow, délire ! » (rire). Puis à l’écoute, j’ai accroché direct. J’ai toujours aimé ce qui sortait de l’ordinaire, les trucs pas conventionnels quoi. Puis moi qui faisais partie de ces personnes un peu atypiques, on va dire, je m’y retrouvais.

J’ai toujours eu l’envie de faire de la musique depuis jeune. Pendant cette période, j’ai eu l’occasion d’intégrer un groupe de métal symphonique en tant que chanteuse. Mais ça n’a pas duré longtemps, et le chant, finalement, ce n’était pas tellement mon domaine.

Avant ça, j’avais eu l’occasion de tester la guitare électrique, j’ai aussi joué un peu de synthé, mais je ne m’y suis jamais vraiment mise à fond.

Par la suite, j’ai découvert un autre univers : les free party. Là, j’ai pris une grosse claque. J’avais vraiment l’impression de débarquer dans un autre espace-temps. Ça a été un tournant dans ma vie, je dois dire.

Puis c’est vrai qu’il y a eu ce titre mythique, qui passait d’ailleurs souvent au petit matin en free, et qui me rendait dingue à chaque fois ! Je pense que ça a été un peu le déclencheur, oui. Les débuts de Pendulum m’ont beaucoup inspirée. J’ai un gros penchant pour ce type de drum and bass ultra dancefloor et mélodique. En entendant ça, je me suis dit : « Ouais, ça, c’est mon truc, vraiment. C’est cette énergie-là et pas une autre. » Je suis tombée amoureuse, littéralement, et j’ai rempli mes bacs de vinyles de DnB, mais aussi pas mal de Jungle et de Ragga jungle. En vérité, de tout ce qui fait « poum tchak pouloupoum tchak » (rire).

Et 17 ans plus tard, je ne peux toujours pas m’en passer !

 

Pourquoi avoir choisi le nom « Purple » ?

Après ma période métal, où j’affichais un style très gothique, j’ai développé une attirance inexplicable pour cette couleur en particulier. C’était presque une obsession, jusqu’à en être vêtue de la tête aux pieds, ce qui m’a valu ce fameux surnom : Purple. On peut finalement dire qu’indirectement, c’est mon entourage qui l’a un peu choisi pour moi.

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Ce qui est étonnant, c’est que je croise énormément de gens branchés spiritualité lors de mes concerts. La plupart décrivent une certaine énergie puissante qui émanerait quand je suis sur scène. Certains me parlent d’aura, etc. En ésotérisme, le violet, couleur de l’initiation, serait connue pour représenter une énergie spirituelle très forte.

Ce qui est sûr, c’est que je reçois des retours extraordinaires de ces personnes. Je leur fais du bien, et quelque part, c’est aussi mon but : procurer un max de good vibes ! Alors, peut-être qu’il y a un côté magique à tout ça, finalement. Et que cette attirance pour le violet serait liée inconsciemment à mon énergie ou à mon âme, quelque chose comme ça. Je ne suis pas forcément quelqu’un de très spirituel, mais je suis assez ouverte sur le sujet, et je trouve que c’est une belle manière de voir les choses.

 

Tu as débuté sur platines vinyles en 2007. Peux-tu nous parler de tes débuts et de ton évolution dans le mix ?

Vers mes 17 ans, j’ai rapidement quitté le foyer familial pour vivre en colocation avec mon compagnon de l’époque et d’autres jeunes DJs. J’ai timidement testé les fameuses platines vinyles, le Graal (rires), et j’ai adoré. J’ai eu beaucoup de facilités à comprendre et intégrer la technique : ça m’a pris environ une semaine. J’avais enfin trouvé mon truc !

Je me suis lancée dans l’achat de mes premiers skeuds. Au début, j’étais plutôt hardtek / hardfloor et hardcore / breakcore. Mes premiers sets, c’était en rave, avec les copains.

En 2013-2014, j’ai fait mes premières apparitions en club, toujours sur platines vinyles. Au fur et à mesure des dates, je me suis vite rendu compte du côté peu pratique du vinyl. Bien que ce soit quelque chose que j’affectionne, j’ai rencontré beaucoup de problèmes en prestation, notamment au niveau du matériel. Et transporter un gros bac de vinyles, c’est physique quand tu vois le poids du machin ! Non, et puis, pour voyager plus loin, c’est juste pas possible. Tout ça m’a amenée à me tourner vers le numérique.

Avant de faire une transition complète vers ce type de matériel, j’ai quand même joué sur du vinyl timecodé, donc semi-numérique je dirais ? Puis, j’ai acheté ma première paire de CDJ. Il faut savoir que de base, j’étais une puriste, et je dénigrais un peu ce type de matos qui, pour moi, représentait trop de facilité. À mes yeux, un DJ qui jouait là-dessus n’était pas légitime. Heureusement, j’ai ouvert mon esprit en vieillissant et me suis rendue compte des nombreuses possibilités qu’offrait le numérique.

J’ai développé une toute autre technique, évidemment, avec des sets beaucoup plus dynamiques.

Puis courant 2020, période de confinement, je me suis lancée dans la création de vidéos en direct sur Facebook. Période galère qui a finalement été très bénéfique pour moi. J’ai réalisé près de 17 livestreams, dont un petit programme de mini streams tous les Lundi soir avec environ 30 à 40 minutes de set. Puis il y a eu le projet ICE BREAKER. Cette fois on a recréé un décor et monté une équipe pro pour la réalisation, il fallait vraiment que ça ait l’allure d’un bouquet final !

Un réel succès, puisque j’ai comptabilisé au total près de 300 000 vues, et augmenté clairement en visibilité. Les gens étaient vraiment au rendez-vous et réactifs, ça m’a vraiment touchée. Je pense que ça a été un tremplin pour la suite de mon parcours.

 

Quel est ton rapport avec la free party ? Comment as-tu vécu cette expérience et en quoi a-t-elle influencé ton approche de la musique ?

Comme je le disais au début, pour moi, les free, ça a été un tournant, vraiment. C’est quelque chose qui restera gravé. C’est là où j’ai développé mon art et construit ma carrière, en quelque sorte. Ça a aussi été un échappatoire au début, comme pour beaucoup, je pense.

Au commencement, on a fondé un petit crew avec les copains. On posait 3 kW de son dans les villages alentours. Puis, peu à peu, on a pris des routes différentes. Certains sont toujours dans le game, et c’est beau à voir. Je pense notamment à nos amis de La Tribu Ktare, qui, aujourd’hui, organisent des raves incroyables.

Actuellement, j’ai un peu stoppé mes sorties dans ce genre d’événements, car je trouve que les mentalités ont changé. Les genres musicaux se sont restreints. Je ne sais pas si c’est le cas partout, mais c’est ce que j’ai constaté dans ma région. Lors des dernières free où j’ai pu me produire, le public était très peu réceptif à la drum and bass comparé à il y a 10-15 ans. Une déception qui m’a un peu freinée, je t’avoue.

Malgré ça, je n’oublierai jamais d’où je viens, ça, c’est sûr, et je porte tout mon soutien à ceux qui se démènent encore pour organiser de belles fêtes avec toute la répression qu’il peut y avoir.

 

On peut voir que tu as joué aux côtés d’artistes très variés (Ixindamix, DJ Fly, Elisa Do Brasil, Isaac Maya, General Levy, The Bloody Beetroots…). Quelles rencontres t’ont particulièrement marquée ?

Elisa ! Une de mes premières dates en club, j’étais tellement angoissée à l’idée de jouer à ses côtés. Représentative du mouvement en France, faut dire que j’étais assez impressionnée.

Ce jour-là, je fais mon set sur vinyles, tendue comme jamais, mais ça l’a fait. Puis, une fois fini, je débarque dans les loges et je suis accueillie par un tonnerre d’applaudissements, et l’approbation d’Elisa. Ça m’a vraiment fait chaud au cœur. J’ai découvert une personne simple et ouverte ce soir-là, on a beaucoup sympathisé, et c’est toujours un plaisir de la recroiser sur ma route.

Je vais faire un Big up à mon cher ami Mc Bram’s, rencontré lors d’une presta en Espagne. On s’est recroisé à Narbonne au dB, justement la fameuse date où je rencontrais Elisa. Il m’a proposé de poser sa voix en impro sur mon set et j’ai accepté. C’était le feu ! Il nous arrive de refaire la même quand on a l’occasion de se recroiser en soirée. 11 ans maintenant qu’on se connaît, c’est le frérot quoi.

J’ai eu l’occasion de partager un plateau en festoche sur Metz avec Al’ Tarba également ! Ce mec est juste incroyable autant dans sa personnalité que sa façon de voir la musique. Je ne l’avais jamais vu en live en plus de ça, j’adhère complètement à son univers, un sacré artiste c’était super inspirant.

Puis il y a eu cette rencontre avec Iphaze, lors d’une soirée organisée par mon pote Mc Bram’s, qui a été un nouveau tournant. Ça, c’était début 2023. On a fini par faire un after ensemble, on a bien déliré ! Le lendemain, il m’appelle, convaincu par ma prestation, pour me proposer de faire partie de la famille Vegaprod (une boîte de booking basée à Bordeaux). J’ai accepté tout de suite ! Et me voilà maintenant dans la team. J’en profite pour faire un gros big up à mon booker Cyril, sans qui je ne serais pas là où je suis aujourd’hui.

 

Tu mentionnes être très influencée par les labels RAM et TECHNIQUE RECORDINGS. Qu’est-ce qui t’attire particulièrement dans leurs productions ? Quelles sont tes autres influences ?

Alors oui, ça a été mes premiers labels de prédilection en matière de drum and bass dancefloor, et mes premiers achats côté vinyles. Je me suis tournée plus tard vers quelque chose de plus Neurofunk, comme les labels Eatbrain et Blackout Music par exemple. Bien que j’aie une grosse préférence pour ce type de son, en vérité mes influences sont vastes et j’apprécie la Drum and Bass sous toutes ses formes ce qui fait que je ne m’arrête pas à un genre précis.

Pour le mix je suis fortement influencée par A.M.C et ses performances techniques sur plusieurs decks. Pour moi le meilleur clairement avec Andy C.

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Tu navigues entre plusieurs sous-genres (Jungle, Ragga, Break, Drumstep, Neurofunk). Comment choisis-tu tes morceaux et construis-tu tes sets pour créer cette fusion entre « sensibilité et force » ?

Bonne question ! Je suis une meuf un peu désorganisée de base. Mes playlists, c’est un bordel organisé (rires).

En vérité, je revois constamment mes méthodes de travail pour être au plus proche de ce que j’imagine au niveau évolution, énergie, etc. Effectivement, je mélange pas mal de sous-genres. Pour pouvoir créer les meilleures combinaisons, je classe mes tracks de différentes manières. Hormis le fait qu’on puisse les séparer par sous-genre, je les classe plutôt en fonction de la construction rythmique, du mouvement, de la dynamique, de l’ambiance…

J’écris énormément aussi, j’ai des cahiers entiers de tests, combinaisons, idées, je note absolument tout pendant mes recherches, parfois je me fais des post-its, y en a partout c’est un vrai chantier !

Je fais des sets harmoniques, pour moi, c’est super important aussi pour l’évolution du mix, et j’ai mes petites combinaisons spéciales 🙂 Puis, j’essaie de créer justement cet effet de vague où des morceaux puissants vont se fondre vers quelque chose qui va émouvoir, pour repartir encore plus fort.

Je ne sais pas vraiment si on peut seulement définir mes sets comme ça, mais on retrouve en tout cas cet effet de vague. Mon truc, c’est surtout créer la surprise en jouant sur différents tableaux.

 

Parle-nous de ton setup pour le mix. Es-tu restée fidèle au vinyl ou as-tu évolué vers d’autres formats ?

Mon setup actuellement, c’est full numérique. Je possède une paire de XDJ 1000 mk2 et une table de mixage Pioneer. J’ai toujours mes platines vinyles à la maison, cela dit, il m’arrive de me refaire un kiffe dessus de temps en temps.

 

Tu te lances dans la production. Peux-tu nous en dire plus sur cette nouvelle aventure ? Quelles sont tes influences pour la composition ?

Cette aventure a commencé il y a quelques années. Je vais nommer mon ami Pierre, aka Trackwasher, qui m’a été d’une grande aide dans l’apprentissage de la MAO. J’ai réalisé mon premier morceau, en 2015 il me semble. Un morceau malheureusement inachevé, dont le projet a disparu du PC suite à une mauvaise manip’ de ma part. Je m’y remets plus sérieusement depuis peu. J’ai une tonne de tracks encore inachevées, mais j’espère que certaines pourront voir le jour en 2025.

Je me suis rendue compte que la Bass Music était quelque chose d’assez complexe à créer, et j’ai encore un petit bout de chemin à faire. Mais j’ai énormément de soutien d’amis calés dans ce domaine, ce qui est super motivant.

J’ai également une première collaboration en cours avec No.Ko Rise Cooker, un DJ et producteur basé sur Montpellier, qui devrait voir le jour bientôt ! Le fait de créer à deux c’est vraiment quelque chose qui m’a aidée à avancer et évoluer.

 

Quelles sont tes influences pour la composition ?

Difficile de toutes les citer, ça part dans tous les sens !

Teddy Killerz, Black Sun Empire, Mandidextrous, Burr Oak, Camo & Krooked, Muzz, Circadian, Luude, Subsonic, Delta Heavy, Junk Mail, REAPER seraient certaines de mes sources d’inspirations actuelles côté DnB.

Les musiques orchestrales, types cinématiques de film m’inspirent beaucoup, je peux citer Hybrid par exemple.

Les voix slaves et scandinaves qui se marient tellement bien à la Drum and Bass.

Ma track super inspirante du moment : AKIMBO de Pirapus.

Apashe que je classe au sommet en matière de production.

Et pour finir je vais citer Elunn, une DJ et productrice avec qui j’ai eu la chance d’échanger et de sympathiser sur les réseaux. Elle m’a littéralement créé un électrochoc quant à ma manière de produire de la Drum and Bass, et j’ai beaucoup appris. C’est une des personnes les plus inspirantes que j’ai pu croiser dans ma vie. La qualité de ses productions est juste dingue. J’invite quiconque ne connaît pas encore à aller découvrir ses morceaux, ça en vaut la peine.

 

Quel est ton point de vue sur l’évolution de la scène Drum & Bass en France ces dernières années ?

Ça commence à bouger un peu, mais c’est pas encore ça. On a beaucoup de retard comparé à d’autres pays, j’ai l’impression. Il me faudrait une vision plus globale, mais je trouve que c’est encore peu développé chez nous, malgré qu’il y ait une évolution. On est loin de nos amis anglo-saxons encore !

 

As-tu des projets futurs ou des collaborations dont tu souhaiterais nous parler ?

J’ai pour projet d’investir dans une ou deux platines types CDJ pour proposer des mix sur 3 ou 4 decks, j’y réfléchis sérieusement.

J’ai déjà parlé de ma collaboration avec No.Ko, un aperçu de notre morceau « Breathe Again » est déjà disponible sur SoundCloud. Le mixage et le mastering seront réalisés dans les prochains mois.

Une collaboration a aussi débuté avec Trackwasher 🙂

Collab’ prévue également avec mon chéri, DJ et Producteur connu sous le nom de Fragment (anciennement Inceptyk pour ceux qui connaissent) on a un peu les mêmes influences, j’ai hâte de voir ce que l’on va pouvoir créer ensemble !

Je vais aussi parler d’un side-project, j’ai intégré un collectif en 2023, ce projet c’est O’Sisters. Fondé par Missill, il mêle musique électro et musique du monde. Je suis entrée en tant que remplaçante derrière les machines en mode Live set, entourée de musiciennes incroyables. Ce projet m’a apporté plus de libération sur scène, c’était vraiment un défi pour moi, puisqu’en plus d’être au live, j’étais aussi au chant, tout ça sur un style que je n’avais pas encore exploré. Missill était une DJ et productrice talentueuse, avec une énergie et une force incroyable. Cette rencontre a été particulièrement marquante pour moi. Elle nous a malheureusement quittés (paix à son âme). Après une pause suite à cette tragédie, notre chanteuse Senny a pris la décision de continuer à faire vivre ce beau projet, et m’a proposé de rester, c’était évidemment un honneur pour moi. On reprend donc doucement les concerts, affaire à suivre.

Pour parler d’un futur proche, un nouveau livestream en prévision pour Décembre, ça c’est mon petit cadeau de Noël 🙂

Sinon, une petite surprise est prévue courant Janvier 2025 avec Drum D, auparavant membre de La P’tite Fumée à la batterie. C’est aussi un sacré MC ! On vous prépare un petit set toasté, il est possible qu’on collabore aussi au niveau prod, mais j’en dis pas plus, je vais laisser un peu de suspense.

Une chouette tournée d’hiver en perspective, concentrée surtout sur le mois de Mars. Toutes mes dates sont disponible sur mes réseaux, en particulier Facebook et Instagram.

 

Quelles sont les meilleures anecdotes de tes années de mix ?

On m’a déjà appelé DJ Turtle, la personne était sérieuse… Je m’en remets toujours pas, ça fait bien marrer les copains en tout cas (rire).

Un membre du public lors d’une presta dans le Verdon, qui ne me connaissait absolument pas de base, est venu à ma rencontre pour me remercier pour l’énergie que j’avais pu donner sur scène, cette personne à ce moment-là avait un sceptre d’Améthyste sur lui. Pour lui c’était un signe et il avait rencontré « la flamme violette » ce soir-là. Il m’a offert ce sceptre. Je l’ai toujours posé sur le bureau du studio depuis. Incroyable.

 

 

Retrouvez Purple sur ses réseaux :

djt-purple-interview-drum-n-bass-Vnion-Festival-Normandie-2023

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